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Par Monsieur-LadyS dans Accueil le 8 Mai 2016 à 17:38
La nuit était tombée sur Lausanne, c'était une fin de semaine étrange, de ces jours où il y a de l’électricité dans l'air. J'étais rentré de bonne heure, des idées de sexe plein la tête.
Une douche, une épilation de mon sexe et me voilà prêt à sortir avec une envie de sexe cru, hard. J'avais beau aimer les femmes, je ne pouvais m'empêcher parfois de fantasmer sur une belle grosse queue qui me remplissait la bouche. Et ce vendredi était un de ces soirs ou j'avais juste envie de libérer mes instincts les plus primaires. Je voulais voir cracher de la bite.
La tension montait gentiment, plus je m'habillais et plus cette envie d'aller dans un cinéma porno pour m'amuser, me donnait cette boule au ventre, cette sensation étrange qui ne se calmait qu'après que le fantasme ait été réalisé.
Mes envies oscillaient entre le cinéma et un sauna mixte. Je pesais le pour et le contre, je m'imaginais déjà dans les lieux à la recherche de ma proie, de mes proies. Je sortais dans la rue, les couilles frémissantes sous mon jeans. Je ne portais pas de sous-vêtements et mon sexe rasé frottait sur le rugueux du pantalon.
Sans m'en rendre compte, j'avais atteint le cinéma, je rentrais discrètement et commençais par faire le tour des deux étages. Mes yeux s'habituaient peu à peu à la pénombre. Je devinais les personnes assises, mon esprit était à vif, le voyeur qui sommeille en moi était aux aguets.
La bouche sèche et le cerveau en ébullition, je déambulais dans cette salle à la recherche du frisson, je m'arrêtais parfois pour regarder un homme se branler, voir la taille de son sexe, imaginer sa dureté En remontant à l'étage, je tombais nez à nez avec un bel homme, café au lait, mes yeux regardèrent vers le sol et découvrirent une magnifique verge, longue, épaisse et avec un gland qui ne donnait qu'une envie prier, se mettre à genoux et adorer ce bout de chaire. Je m'approchais et, avec anxiété, lançais ma main à la découverte de ce trésor. Mon dieu qu'elle était belle, rien qu'en la palpant, ma gorge se serrait. Je ressentais les tensions de cette branche vivante, La main de l 'inconnu me caressait doucement la joue. Je m’étais mis à genoux et dans le noir tentais de voir ce superbe objet.
Ma bouche s'entrouvrit, la langue allât à la rencontre de ce prépuce gonflé. Je reniflais ces odeurs de mal propre, je soupesais des couilles délicieusement pleines, et d'un jet j’avalas ce pieux.
C'était comme une sucrerie, doux, chaud, entêtant. Je parcourais avec ma langue cette tige bien raide, jouais avec son méat, le fixais dans les yeux. J'avais le pouvoir, le pouvoir de le faire cracher ou de le torturer encore et soudain mon inconnu inonda ma bouche dans un grand cri libératoire. J'étais un peu déçu, cela avait été si court. Il remettait déjà ses attributs dans son pantalon et partit sans dire un mot.
C'est à ce moment-là que je vis un couple assis juste à côté et qui avait vu toute la scène. La femme me fixait du regard et me dit "Vous sucez avec beaucoup de sensualité pour un homme, voulez-vous m'aider à donner du plaisir à mon homme ?". Elle avait une voix rauque et érotique. Je lui répondis " Je veux bien, vous avez l'air très sympa", une phrase bateau car j'avais vraiment été surpris par la demande.
Nous sommes descendus d'un étage et avons pris une grande cabine. Fabian, c'était le nom de son mari a mis des sous et la vidéo a débuté. Favia, sa femme, était une belle femme un peu ronde mais très sensuelle, elle ne portait qu'une veste en cuir noir et des hauts talons, lui était plus classique et portait un jeans et une chemise.
Fabian a commencé par m'embrasser à pleine bouche, de ces baisers qui font frémir jusqu'au plus profond de soi. Il s'est aventuré dans mon pantalon et a plaqué sa main sur mes bourses frémissantes. J'avais sorti son sexe et le branlait doucement sur la bouche de sa compagne, il y avait de l'électricité dans l'air., l'atmosphère était tendue, je descendis vers Favia, j'avais faim et voulait partager ce présent avec elle, parcourir à deux ce magnifique sexe. Nous nous encouragions mutuellement et jouions chacun à notre tour avec les sens de notre victime, c'était délicat, fin, mon sexe était tellement tendu et excité que j'en avais mal.
Fabian finit par se redresser et enfilât sans ménagement cette femme ouverte et humide. Je me mis dans un coin et les regardait en me branlant, elle se rapprochât et m'avalât d'un trait. Je ressentais à travers sa bouche, les coups de bite qui lui laminaient la chatte, c'était divin, Fabian et moi nous regardions, complicité. Le rythme s'accélérât et après avoir résister longtemps, nos deux sexes libérèrent leur semence et arrosèrent Favia.
Nous restâmes quelques minutes sans parler ni bouger, juste essayer de prolonger ce moment de grâce. Nous finîmes par nous rhabiller et rentrer chacun de notre côté.
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Par Monsieur-LadyS dans Lieux insolites en Suisse Romande le 13 Avril 2016 à 18:48
La librairie HumuS est inaugurée le 8 décembre 2010, sous les spécificités des " Amours, Humours et autres singularités" auxquelles s'est ajoutée une section consacrée au Japon.
Le Cabinet érotique est une partie de cette librairie, spécialisée dans la création inspirée du plaisir des corps. Avec un fonds de quelque 7'000 ouvrages, le Cabinet propose aussi gravures, dessins, photographies, cartes postales, bandes dessinées, bibelots. ...en robe ou en uniforme, les ecclésiastiques, procureurs et militaires sont dispensés de visite ...
Horaires:
du mardi au vendredi 12h - 19h, le samedi 12h - 18h. Le matin sur rendez-vous.
ADRESSE :
Librairie HumuS
Rue des Terreaux 18bis
CH-1003 Lausanne
Suisse
Téléphone : ++41 (0) 21 323 21 70
e-mail : librairie@humus-art.com
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Par Monsieur-LadyS dans Accueil le 13 Avril 2016 à 18:16
Un peu d'histoire
Le mot « libertin » vient du latin « libertus » qui signifie « affranchi » mais a deux significations. Du temps de Pascal (XVII ème siècle), ce mot désignait la liberté de pensée affranchi de toute doctrine religieuse. Au XVIII ème siècle s'ajoute à ce sens une idée de transgression morale. L' Encyclopédie en donne sa définition : « C'est l'habitude de céder à l'instinct qui nous porte aux plaisirs des sens ».Libertinage au XXe siècle
Se posant sur une référence plus ou moins explicite aux intellectuels et écrivains du libertinage philosophique, en particulier sur les auteurs les plus "érotiques" (Sade, Laclos), les pratiques libertines contemporaines (clubs libertins, échangisme, mélangisme) s'appuient sur le matérialisme rationaliste pour contester et remettre en question, de fait, les principes jugés puritains des sociétés occidentales.
Même si ces pratiques dites libertines se sont démocratisées - et que leur aspect militant tend à s'effacer - la dimension de "libre-pensée" est aujourd'hui reprise par diverses publications libertines telles que des magazines en ligne ou autres.
Cet aspect des choses est souvent négligé, à tort, par les penseurs de la société contemporaine et diverses études en sciences sociales tendent à montrer aujourd'hui le lien entre les pensées philosophiques libertines (XVII-XIXèmes siècles) et les pratiques sexuelles et érotiques actuelles
Aujourd'hui
Le libertinage est devenue avec le temps un moyen de vivre ses fantasmes et de ne plus considérer le couple comme seul lieu d'intimité. Des lieux ont été créés afin de satisfaire la demande de nouvelles expériences , il manque cependant souvent l'aspect intellectuel dans cette nouvelle approche du libertinage.
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